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Couverture médiatique d'HEC Paris dans la presse francophone
Le Monde souligne le contraste entre la croissance record des grandes entreprises du CAC40 à l'international et la stagnation de l'économie française. En 2024, le chiffre d'affaires cumulé du CAC 40 a atteint 1 600 milliards d'euros, mais seulement 25 % de cette richesse est créée en France. Pascal Quiry, professeur de finance à HEC Paris, estime que cette déconnexion est une force, les entreprises ayant su se diversifier à l’étranger. Toutefois, leur contribution à l’emploi et aux recettes fiscales en France reste limitée.
Dans un article sur la stratégie de relance de Panzani, LSA rapporte que le groupe lyonnais a vu son chiffre d'affaires reculer de 3 % en 2024 en raison de la baisse des prix des matières premières et d'une forte pression promotionnelle. Après l’échec de son entrée sur le marché du traiteur frais, Panzani mise sur l’innovation en GMS et le lancement d’une gamme premium. Gachoucha Kretz, professeure à HEC Paris, souligne que le succès d'une extension de marque repose sur la visibilité, la légitimité, la différenciation et la valeur perçue.
Plusieurs étudiants internationaux à HEC Paris se sont exprimés au micro de Brut sur les différences culturelles qu'ils ont observées entre leur pays et la France et leur expérience en tant qu'étudiants dans l'Hexagone.
Interviewé par RFI sur les mesures protectionnistes du président américain. Jérémy Ghez, professeur à HEC Paris, avertit que cette stratégie risque de provoquer une hausse de l'inflation et de freiner la croissance économique.
L'Express met en lumière les hésitations de l'Union européenne face aux hydrocarbures russes, malgré leur rôle central dans le financement de la guerre en Ukraine. Jean-Michel Gauthier, professeur affilié à HEC Paris, dénonce un double discours de la part de l'Union européenne, pointant du doigt la dépendance persistante de l'Europe au GNL russe, qui continue d'affluer dans les ports européens malgré les mesures restrictives.
Le Monde met en avant le parcours de deux étudiants, Timothée Dessenne et Sauzon Bidet, ayant rejoint HEC Paris après une classe préparatoire dédiée aux bacheliers professionnels. Leur réussite illustre notamment l’engagement d’HEC Paris à diversifier ses recrutements en accueillant des profils divers et issus de parcours moins conventionnels.
Interviewé par L’Express à l'occasion de la sortie de son dernier livre "La diversité n’est pas ce que vous croyez !", Olivier Sibony, professeur de stratégie à HEC Paris, déconstruit l’idée selon laquelle la diversité améliorerait systématiquement la performance économique. Il souligne que le manque de diversité au sommet des entreprises est davantage dû aux stéréotypes sur le leadership qu’aux seuls biais cognitifs. Il plaide pour des réformes structurelles plutôt que des formations inefficaces et remet en cause la valorisation de certains traits perçus comme masculins dans le management.
Dans un article sur l’augmentation des dépenses militaires en Allemagne, Les Échos analyse la stratégie de Friedrich Merz, qui envisage d’utiliser le Parlement sortant pour faire voter un fonds spécial de défense avant l’installation du nouveau Bundestag. Armin Steinbach, professeur de droit à HEC Paris, souligne que si cette manœuvre est légalement possible, elle serait politiquement risquée et perçue comme une faiblesse du gouvernement.
Le Point met en avant le programme HEC Imagine Fellows, qui a permis à trois jeunes femmes de poursuivre leurs études en France après la prise de pouvoir des talibans. Grâce à un réseau de diplomates, d’ONG et d’entreprises, HEC Paris a organisé leur sortie d’Afghanistan, malgré les restrictions imposées aux femmes. Aujourd’hui intégrées à la Grande École, elles aspirent à des carrières en conseil ou en entrepreneuriat social, tout en espérant un jour pouvoir retourner à Kaboul lorsque la situation le permettra.
Dans une interview pour La Tribune, Pascal Saint Amans, professeur de droit à HEC Paris, analyse les conséquences du retrait des États-Unis de l’accord mondial sur l’impôt minimum des multinationales. Il souligne que cette décision pourrait provoquer des tensions commerciales, notamment si d’autres pays appliquent la taxation aux entreprises américaines, entraînant de possibles représailles fiscales de l’administration Trump. Il met également en garde contre le risque de fragmentation du système fiscal international, fragilisant ainsi les efforts de coopération en matière de taxation des grandes entreprises.